Archivo | septiembre, 2020
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Envie de changer d’emploi ou de métier? – CHAMANE URBAINE

30 Sep

Et s’il était temps pour vous de quitter votre poste, voire même de changer de voie ? Voici les signaux qui doivent vous faire réfléchir.

 

« Ce n’est pas le bon moment », « Je ne trouverai jamais mieux », « C’est la crise », « Mon job n’est pas si mal que ça »… Les excuses pour ne pas quitter un travail qui ne nous plaît plus ne manquent pas ! Pour beaucoup, l’aspiration au changement restera un doux fantasme. « Si vous ressentez des frustrations, si vos besoins ne sont plus comblés, prenez le temps de la réflexion, estime Bérangère Toucheman, directrice d’un cabinet de conseil en management et coaching professionnel à Toulouse. Les signaux ne sont pas les mêmes pour tout le monde, selon ce qui compte le plus à vos yeux dans votre travail. Attention, le changement n’a pas besoin d’être radical pour que vous vous sentiezmieux dans votre job. Il peut s’agir de changer d’entreprise ou de secteur, de développer une deuxième activité… ».

1/ Vous êtes de moins en moins motivé(e)

« La baisse d’enthousiasme est un vrai signal, insiste la Slasheuse Hélène Picot , coach et fondatrice de la méthode « Rêvez, Osez, Foncez : 3 mois pour trouver sa voie ! ». Le travail peut et doit être un moment d’épanouissement. Lorsque vous êtes pleinement aligné avec ce que vous faites, vous êtes heureux d’aller travailler. » Au quotidien, cela peut se traduire par de l’ennui, un manque d’envie et d’énergie. Passer son temps à regarder sa montre, surfer sur Internet comme on errerait dans la rue, rallonger ses pauses, mettre une heure à boucler un dossier qui ne demandait que quinze minutes… Le bore-out peut vite être source de souffrances et devenir aussi mauvais pour la santé que le burn-out.

2/ Vous n’êtes pas satisfait(e) de vos relations de travail

Votre job peut vous passionner, mais si vous n’êtes pas ou plus en phase avec vos collègues et/ou vos supérieurs, il se peut que cela vous mine considérablement. « Pour reprendre la pyramide de Maslow, le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu, précise Bérangère Toucheman. On a tous besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels on évolue, notamment au travail. On se définit aussi par rapport à ces relations. Ainsi, quand on ne se reconnait plus dans la culture véhiculée par son entreprise, par les valeurs de sa hiérarchie ou que l’on ne se sent plus reconnu par le groupe, il est temps d’aller voir ailleurs ! » Une entreprise plus familiale ? Un grand groupe ? Une start-up ? Il y a 1001 manières d’exercer le même poste, à vous de voguer vers une ambiance qui vous conviendra davantage.

3/ Les maux du corps

Boule au ventre, sommeil altéré, palpitations sur le trajet… « Lorsque le corps commence à envoyer des signaux d’alerte, aussi légers soient-ils, il est opportun de prendre du recul et de commencer à faire le point afin d’identifier s’il s’agit d’un malaise passager ou d’une crise plus profonde nécessitant un changement de job, voire de voie », explique Marina Bourgeois, consultante en reconversion professionnelle et bilan de compétences-bilan de carrière, fondatrice de « Oser rêver sa carrière ». « Si dès le dimanche soir ou lundi matin, vous ressentez un début de stress, ce n’est pas bon signe, confirme Hélène Picot. La limite intervient lorsque le corps «parle» et appelle au changement. A partir du moment où vous commencez à somatiser, quand vous en avez plein le dos, quand vous ne «digérez» plus ce que vous faites… jusqu’à l’apogée, le burn out, il est plus que temps de bifurquer vers un chemin plus en accord avec vos valeurs. »

4/ Vous vous dites que votre travail manque de sens

On peut avoir une situation professionnelle très confortable, enviée par beaucoup, mais qui au final, ne remplit pas notre besoin de nous accomplir. « C’est le sommet des aspirations humaines, analyse Bérangère Toucheman. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. » C’est ainsi que Marie Treppoz, directrice marketing dans un groupe du Cac 40 a quitté son poste pour donner plus de sens à son travail. Afin de se sentir davantage utile, elle a fondé Welp  un site d’entraide gratuit entre particuliers.

5/ Les gens bien dans leur job vous énervent

Pierre gravit les échelons dans son entreprise, Annabelle vante la bonne entente avec ses collègues, Stéphane et Inès sont ravis de leurs nouvelles missions… Et vous, leur bonheur vous pèse ! « L’aigreur, voire la jalousie, envers les proches heureux au travail sont des signaux fréquemment rencontrés chez les insatisfaits au boulot, constate Marina Bourgeois. Ils témoignent d’une frustration ou d’un mal-être par un effet miroir. »

Pour aller plus loin

Le 31 mars, c’est LA journée pour quitter son job !
L’initiative vient du Danemark. Woohooinc., une entreprise spécialiste du bonheur au travail, a rebaptisé le 31 mars The international qui your crappy job day. Littéralement, la journée internationale pour quitter ton job de merde ! Le site internet dédié à cette opération fourmille de témoignages inspirants, de tests et de conseils pratiques.

6/ Vous attendez les jours off avec une attente démesurée

Combien de jours vous reste-t-il à « tenir » avant vos prochains congés ? Si vous vous posez régulièrement cette question, ce n’est peut-être pas anodin… « Une cliente que j’accompagne me disait en ces termes : «J’attends les week-ends et les vacances pour avoir vraiment l’impression de vivre», se souvient Marina Bourgeois. S’il est évident que presque tout le monde attend les jours de repos avec impatience, les attendre de façon démesurée en ayant l’impression de mettre sa vie entre parenthèse les jours de travail, témoigne d’un véritable problème nécessitant d’entamer une réflexion. »

7/Une petite voix vous dit…

« Si au fond de vous, vous avez cette petite voix intérieure qui vous envoie des pensées, des désirs de changement, ne la mettez surtout pas de côté, prévient Hélène Picot. Ce n’est rien d’autre que votre intuition et elle ne se trompe jamais ! Ecoutez-la et autorisez-vous à faire un premier pas vers le changement. Même si vous êtes bon dans votre travail actuel et qu’il vous paraît «confortable», gardez en tête que vous excellerez dans ce que vous aimez faire. Ne vous résignez jamais. Il est possible de changer de boulot et même de voie à tout âge. Autorisez-vous à devenir pleinement vous-même, vous avez le droit de vous éclater dans votre travail ! »

Vous vous posez des questions sur votre avenir professionnel ? Vous avez besoin de changement et de (re)donner du sens à votre travail, sans trop savoir comment ? Notre programme «Construire la prochaine étape» vous aidera à dépasser vos peurs, à ouvrir de nouveaux horizons et à identifier des pistes concrètes pour la suite. Un programme, conçu par et avec des coachs spécialisés, à suivre à votre rythme.

 

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).

 

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Cómo puedo dejar de sentir culpa? – Inteligencia Emocional – Renata Roa

26 Sep

El sentimiento de culpa tiene a menudo su origen en nuestra infancia y en lo que nuestros padres han proyectado sobre nosotros. Sea como sea, es responsabilidad nuestra favorecer un diálogo interno sanador y positivo.En nuestras vidas experimentamos sensaciones de todo tipo a través de las situaciones que vivimos. Unas, como bien sabemos producen bienestar y nos resultan agradables, y las que llamamos positivas. Por otro lado, las que nos incomodan y con las que lo podemos llegar a pasar realmente mal, las que llamamos negativas.  La culpa se sitúa en estas últimas.

Nadie se libra de haber experimentado esta sensación que puede llegar a resultar tandestructiva. La culpa puede tener unas raíces muy profundas por haberse desencadenado, quizá, en nuestra tierna infancia y acompañarnos a lo largo de nuestro ciclo vital hasta la edad adulta.

Si lo pensamos bien, muchas de las frases que recibimos en los primeros años de vida pretendían sobre todo controlar nuestro comportamiento proyectando un sentimiento de  culpa: “eso que acabas de hacer está muy mal, deberías avergonzarte de ello”. Son situaciones que sin duda, a todos nos pueden ser más o menos familiares.

El sentimiento de culpa su doncella la culpa son dimensiones muy comunes entre los seres humanos. Por ello, es necesario recordar que ante la vida podemos adoptar dos tipos de roles: el de quien arrastra a lo largo de su vida un sentimiento de culpa (y el consecuente victimismo)  o bien liberarnos de esos yugos, reparar posibles errores y evitar estados crónicos de angustias y resentimientos tan poco saludables.

“Nunca te conviertas en una víctima. No aceptes la definición de tu vida por lo que te dicen los demás. Defínete a ti mismo”

-Harvey Fienstein-

1. Anatomía de la culpa: entiende qué es y cómo actúa

La culpa es ante todo una emoción. Fischer, Shaver y Carnochan, (1990) definen este estado como ese tipo de estados negativos donde se integra también la tristeza, el dolor, la amargura y la angustia. Son dinámicas internas poco cómodas y que a la largar pueden conducirnos incluso a estados de clara indefensión.

Asimismo, es interesante saber que esta dimensión cuenta con una amplia documentación clínica y científica. De hecho, en un estudio llevado a cabo en la Universidad de Vanderbilt, en Estados Unidos, se demostró que tras la depresión, la ansiedad, el trastorno obsesivo compulsivo  (TOC) e incluso en los trastornos de la alimentación, habita en gran parte de las ocasiones un sentimiento de culpa.

Esta emoción que surge tras un comportamiento, una situación de la que nos creemos responsables o incluso a raíz de esas proyecciones que nuestros padres pudieron dirigir sobre nosotros en el pasado, impacta en uno mismo de diversos modos:

  • Influencias físicas: la activación psicofisiológica del sentimiento de culpa se manifiesta con dolores en el pecho, estómago, presión en la cabeza y molestias en la espalda
    • Influencias emocionales: irritabilidad, nerviosismo, y es frecuente que lo identifiquemos como algo parecido a la tristeza.
    • Procesos mentales: autoreproches, autoacusaciones y pensamientos destructivos de la autoestima y valía de uno mismo.

    2. Para afrontar la culpa, acepta su existencia pero no la intensifiques

    Muchas acciones de las que emprendemos ayudan a aumentar el sentimiento de culpa. Sin apenas darnos cuenta y con frecuencia, podemos generarnos un malestar tan inútil como innecesario. Se supone que a nadie le gusta ser su propio verdugo, sin embargo en gran parte de los casos acabamos siéndolo. Estas acciones mentales son las que pueden alimentar en mayor medida nuestros sentimientos de culpa.

    Veamos por tanto cómo son y cómo actúan los mecanismos que alimentan la culpa.

    Cuidado con el pensamiento polarizado

    Una de estas acciones es el pensamiento extremo polarizado. Dentro de esta visión, ante nosotros todo o es blanco o negro, pero en raras ocasiones podemos ver que existen matices y una amplia gama de posibilidades y circunstancias. Pensar que las cosas son buenas o malas, positivas o negativas, nos reduce drásticamente la visión y nos deja poco espacio para maniobrar. Es una forma de rigidez propia del perfeccionismo, con un sistema de normas estricto.

    No rehuyas la emoción de la culpa, entiéndela

    Otra es la forma de afrontamiento. El afrontamiento del sentimiento de culpa no radica en dejar de sentir esta emoción, en erradicarla o evitarla. Que aparezca es algo inevitable y aparecerá frecuentemente en nuestras vidas, y por supuesto que dolerá. El sentido está en dejarla sentir y a continuación considerar, reflexionar, por qué ha aparecido.

    Tu diálogo interno no debe ser tu enemigo

    La última de las acciones que nos ayudan a incrementar el sentimiento de culpa es el  diálogo interno Deberíamos ser capaces de hablar con nosotros mismos sin reprocharnos nada. Cuando experimentemos la sombra de esta emoción lo ideal es preguntarnos: ¿Por qué me siento así?, ¿qué situación es la que me ha provocado la culpa?, ¿puedo asumir esta culpa sin hacerla más grande ni infravalorarme por ello?

    3. Entender, mediar y sanar la culpa

    La sensación de culpa es una emoción que actúa de aviso. Es un sistema de alarma del que no debemos huir. Lo ideal por tanto es reflexionar acerca de lo que la ha provocado, y entender por qué nos sentimos de ese modo. Es como un aprendizaje para comprender dónde tenemos que poner el foco de atención en nuestras vidas para lidiar con las vulnerabilidades.

    Al hacer este análisis constructivo evitamos un sufrimiento y malestar que no tienen nada que ver con la culpa, sino más bien con nuestra desvalorización e incomprensión hacia nosotros mismos. De esta forma podremos dar solución y entender que existen alternativas para afrontar la situación en la que nos hemos sentido culpables.

    La culpa puede venir mediada, por ejemplo, por no haber pedido perdón a alguien por nuestro comportamiento. Otras veces, por pensar que hemos actuado con poco acierto, con poco esfuerzo o de modo equivocado. Entender por tanto que a menudo hay  un error que reparar nos permite desplegar un mecanismo de acción y reparación.

     

    Forma parte de nuestra responsabilidad intentar comprendernos sin caer en la propia desvalorización, autocastigarnos o descalificarnos, pensando injustamente que somos malos o egoístas y no hay nada que hacer al respecto. Esto nos lleva a un bucle en el que perdemos el tiempo y nos autodestruimos sin solucionar nada, ni emprender las acciones que llevan a la solución externa y la de nuestro conflicto interno.

    Aprendamos a gestionar la culpa de manera efectiva, constructiva y ante todo, sanadora

     

 

Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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Equinoccio de otoño este 22 y 23 de Septiembre del 2020, un nuevo equilibrio se impone.

22 Sep

Love, love, love…All you need is love… El 23 de septiembre 2019, 7:50 UT, entra el Sol en Libra, todo se torna color rosa y el románticismo brota por doquier. Hasta el próximo 23 de octubre, nuestros corazones se abren para dar y recibircolaborar, cooperar, co-crear. Lo que el mundo necesita ahora es amor, dulce amor.

El Sol en Libra centra su atención y enfoque en las relaciones, las asociaciones y la importancia del equilibrio. El signo rige las relaciones con los demás como espejos de nosotros mismos. El compromiso y la negociación están bajo el imperio del signo de la balanza.

La atención durante este periodo se centra en encontrar equilibrio y armonía a través de las relaciones y el arte.

La toma de decisiones puede ser más difícil mientras que está el Sol en Libra. Aunque es el signo del pacificador, sin embargo, la vida no siempre es pacífica con Libra en su intento de restablecer el equilibrio. El signo representado por la balanza y la justicia, pesa ambos lados de cualquier situación, y a veces este proceso parece interminable.

El Sol en Libra está preocupado por no hacer olas y no frotar los demás por el camino equivocado. El tacto, el estilo, la tolerancia, y la sociabilidad son algunas de las palabras claves para Libra. Por el lado de la sombra, Libra puede ser egoísta, indeciso, pasivo-agresivo, y superficial.

En septiembre 2019, damos la bienvenida a una nueva estación con el equinoccio, al Sol en el signo de la pareja y la celebración de Mabon mientras esperamos la Luna nueva en Libra, para ayudarnos a abrir la puerta hacia el éxito, mientras mantenemos un renovado equilibrio con la realidad.

 

 

 

 

Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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One Method To [Finally] Defeat Digital Distraction | Robin Sharma

19 Sep

Digital distraction is the result of living in a world where our phones light up and ding incessantly. With email and text messages, phone calls and social media alerts, it never seems to stop. There is an expectation that we can be reached anytime, day or night. And since we hate to fall short of expectations, or otherwise disappoint, we take action on the lights and dings. We respond to the email or text message, answer the phone call or acknowledge the social media post with a “like” or comment.

We have become quite literally addicted to our phones. The same dopamine-adrenaline loop that identified danger when we were a hunter-gatherer society, and congratulated us when we safely averted it, is being chemically triggered every time that phone lights up or dings. Our brains are conditioned to respond to novelty and to give us a jolt when we feel like we accomplished something – say responding to a text message or liking a Facebook post. This culture of constant connectivity takes a toll both professionally and personally. We waste time, attention and energy on relatively unimportant information and interactions, staying busy but producing little of value.

And like any other addiction, there is no simple solution to break it. Because let’s be honest, technology is here to stay. What we can do, however, is take back control with small steps. Here are five ways to start:

#1 LIMIT PUSH INFORMATION

Push information comes to us without our requesting it. These are the emails we never opted in to, the telemarking phone calls, etc. This is the category of technology that drives us crazy because we’re not in control of it and it’s constantly vying for our attention.

As much as possible, limit push information. Unsubscribe from email lists (Unroll.Me is a great way to do this), add phone numbers to the National Do Not Registry (donotcall.gov) and turn off all push notifications. This puts us back in the driver seat and turns push information into pull information, the information we choose to take in when we want to.

#2 SCHEDULE TECHNOLOGY BREAKS

It’s unrealistic to go an entire day without looking at our phone. Instead, schedule dedicated technology breaks on the calendar. It’s especially helpful to set an alarm at the beginning of the break and another one at the end of the break to separate this time from productive working appointments and help ensure that a 15-minutes break does not degenerate into 60-minutes.

#3 SET AND COMMUNICATE BOUNDARIES

Though we can’t make technology go away, we can choose how we use technology and communicate that to our colleagues and loved ones. One technique to use in doing this is to simplify decision making with the concept of meta decisions. These are umbrella-type decisions that impact all of the smaller decisions that come thereafter. Here are some examples of technological metadecisions:

  • No phones at the dinner table.
  • Unless it’s an emergency, I can be reached by phone between 11 am and noon or 3 pm and 4 pm.
  • I respond to email at 10 am and 5 pm.

These decisions are only enforceable if they are communicated to the people that need to respect them – clients, colleagues, board members, etc. Reinforce them with actions and train others to respect them.

#4 ELIMINATE THE DISTRACTION

People who focus on one thing are not only going to get more done, but they’ll be less tired and less neurochemically depleted after doing it*. There’s no better way to focus on important work that needs to be done than by eliminating all distractions. Just like we close our office door or put up a “do not disturb” sign to tell others to leave us alone, shut down all technology during times that require focus. Put the phone in the hall and shut down email. Do whatever it takes to eliminate the potential for digital distraction when focus is necessary.

 #5 RECHARGE IN ANOTHER ROOM

Remove the temptation all together, and sleep with the phone charging in a different room or ideally, on a completely different floor. Again like an addiction, our will power to resist technology is simply not great enough. So remove the source of the addiction entirely and see what a difference it makes when the phone is not the last thing we look at before closing our eyes at night and the first thing we look at when we open them in the morning.

Technology is here to stay. With these steps, we can take back some control over digital distraction and move our businesses and ourselves forward. Got other tips to defeat digital distraction to share? Please comment below.

 

 

 

This compilation was released by Lorena López Writer, Professional Translator,  Angelic coaching, Librarian, Feng Shui Consultant and EFt therapist.

 

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17 de septiembre 2020, Luna nueva en Virgo, el impulso necesario para lograr lo que queremos.

16 Sep

Elementos inéditos, positivos y tangibles se ponen a nuestra disposición a partir del 17 de septiembre 2020, a las 11:00 UT, cuando comience la fase de la Luna Nueva en Virgo. Tomemos esta inusual oportunidad para infundir a nuestros proyectos, sueños y metas el sentido práctico, y poder avanzar más de lo que lo hemos venido haciéndolo desde hace bastante rato.

Una  Luna nueva es siempre un momento maravilloso para empezar algo, o tal vez comenzar la siguiente fase de un proyecto que ya hemos comenzado. Cada signo matiza la fase con una función especial, en el caso de Virgo su propósito es traer la capacidad de organizar y planificar a medida que progresamos.

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Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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Julio Bevione, lee #VolverAMi ¿Me acepto?

12 Sep

El mundo es una proyección de nuestro universo interior y lo que experimentamos habla más de nosotros mismos que de las circunstancias que nos rodean. Así lo entiende Julio Bevione, comunicador y autor de once libros de temáticas espirituales. Basándose en su inspiradora visión ante situaciones cotidianas de la vida, Bevione nos presenta una obra reflexiva sobre cómo encontrar el sentido a nuestra realidad, poniendo el foco en nuestro mundo interior. Concebida para abordar 60 temas (uno por capítulo), esta obra trata cuestiones tan diversas como las culpas en un divorcio, encontrar el propósito de vida o entender la adversidad de manera más clara. Volver a mí nos guía hacia la reflexión y nos propone nuevas pautas para manifestar un cambio positivo en nuestra vida. Una invitación a transitar por el camino de vuelta hacia nosotros mismos. / The world is a projection of our inner universe and what we experience speaks more of ourselves than of the circumstances that surround us. Back to Myself guides us to meditation and proposes new guidelines to enact a positive change in our lives. An invitation to travel on the way back to ourselves

 

 

Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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EST-IL POSSIBLE DE FAIRE PLAISIR À TOUT LE MONDE ?

8 Sep

Les questions suivantes me sont souvent posées par des personnes de différents sexes, âges et cultures.

  • « Comment puis-je me faire plaisir quand je sais que cela déplaît à mon mari ? »
  • « Comment écouter mon besoin alors que les besoins de mes proches me semblent plus urgents ? »
  • « Pourquoi ai-je de la difficulté à être bien quand l’autre est malheureux ? »
  • « Pourquoi ai-je si peur de passer pour égoïste ou sans-coeur ? »

Avant de répondre à ces questions très communes, voici une petite histoire très symbolique :

Un jour, il y a longtemps, un père et son fils de 12 ans eurent un long trajet à parcourir et ne possédaient qu’un âne. Le père décida de laisser son fils s’asseoir sur l’âne pendant qu’il marchait à côté. Ils rencontrèrent un étranger qui dit au fils : « Comment peux-tu être aussi égoïste et laisser ton père marcher à côté de toi? Tu es jeune et plein de vigueur, tu devrais être celui qui marche. » Le père et le fils décidèrent de changer de place et maintenant, le fils marchait à côté de l’âne. Un peu plus loin, ils rencontrèrent une autre personne qui dit au père : « Comment pouvez-vous être aussi sans-coeur et laisser votre jeune fils marcher de la sorte! Après tout, vous êtes le père et un adulte; vous devriez marcher à côté de l’âne. »

Ils se regardèrent tous les deux et décidèrent de s’asseoir tous les deux sur l’âne. Après un certain temps, ils rencontrèrent un autre individu qui leur dit : « Comment pouvez-vous être aussi ingrats tous les deux et faire autant travailler ce pauvre âne qui me semble bien fatigué! N’avez-vous pas honte d’être assis ainsi tous les deux et de laisser ce pauvre âne faire tout le travail? » Le père et le fils, ne sachant plus trop quoi faire et se sentant coupables d’avoir fatigué leur âne, décidèrent de marcher tous les deux à côté de l’âne pour que ce dernier puisse se reposer. Un peu plus loin, ils rencontrèrent une autre personne qui leur dit : « Quelle sorte d’idiots êtes-vous? Vous avez un âne et vous ne l’utilisez même pas! »

La morale de cette petite histoire :
IL EST IMPOSSIBLE DE FAIRE PLAISIR À TOUT LE MONDE.

Si chacun d’entre nous peut se souvenir de cela, quelle vie agréable nous aurions! Comme il sera plus facile d’être heureux! Hélas, le contraire se produit. Notre éducation familiale et religieuse nous a appris que nous devons nous oublier pour les autres sinon, nous ne sommes que des égoïstes et des sans-coeur. Par conséquent, nous avons appris à ignorer nos vrais besoins. Les seules occasions où nous nous accordons le droit de les écouter sont lorsque ceux-ci répondent aux besoins des autres et correspondent à leurs croyances.

Nous avons également intégré la notion que, lorsque nous faisons plaisir à ceux que nous aimons, ils nous aiment davantage. Nous n’avons jamais appris la différence entre FAIRE PLAISIR À QUELQU’UN et AIMER QUELQU’UN. Ce sont deux concepts tout à fait différents. Nous pouvons faire plaisir à quelqu’un sans l’aimer véritablement et nous pouvons aimer quelqu’un sans lui faire plaisir.

Prenons l’exemple d’un couple où madame veut aller au cinéma toutes les semaines tandis que monsieur préfère regarder la télévision dans son fauteuil préféré à la maison. Madame croit que lorsque monsieur accepte d’aller au cinéma, il lui confirme qu’il l’aime et monsieur, de son côté, croit que lorsque madame regarde un film à la télévision avec lui, elle lui prouve son amour. Un couple qui s’aime véritablement accepte d’avoir des préférences différentes et l’un comme l’autre accepte de se faire plaisir seul si l’autre n’en a pas envie au même moment. Pour que ce soit de l’amour véritable, quand l’un des deux décide de faire plaisir à l’autre en faisant ce dont il n’a pas vraiment envie, cette décision doit être prise par amour pour l’autre et non par peur de lui déplaire ou par peur d’une dispute.

Aimer véritablement signifie accepter la différence de l’autre sans vouloir le changer. C’est aussi accepter d’avoir des préférences ou des croyances différentes de l’autre et de ne pas ignorer nos besoins de façon à plaire à l’autre. Je répète : lorsqu’une personne CHOISIT de faire plaisir à qui que ce soit, ce choix doit être fait pour le plaisir de faire plaisir. Souvenons-nous de ce que stipule la loi du retour : si nous aimons que les autres choisissent de nous faire plaisir, il n’en tient qu’à nous d’agir de la même façon le plus souvent possible.

Comme la petite histoire du début le démontre, nous devons toutefois nous rappeler qu’il est impossible de faire plaisir à tout le monde en même temps. Le plus difficile à accepter s’avère les choix que font les autres, surtout nos proches, avec lesquels nous ne sommes pas d’accord. Parce qu’ils savent ce qui nous ferait plaisir et qu’ils disent nous aimer, nous croyons qu’ils devraient toujours agir en fonction de ce que nous aimons. CETTE CROYANCE ENGENDRE UNE ATTENTE COMPLÈTEMENT UTOPIQUE.

  • Un enfant peut choisir de vivre l’expérience de prendre de la drogue et ceci ne signifie pas qu’il n’aime pas ses parents; il a tout simplement quelque chose à apprendre à travers cette expérience.
  • Une personne peut être très impatiente avec un collègue de travail et elle n’est pas en train de dire qu’elle ne l’aime pas : elle ne sait tout simplement pas comment exprimer ce qu’elle vit.
  • Un homme peut vouloir sortir avec les copains un soir par semaine et cela n’a rien à voir avec l’amour qu’il a pour sa partenaire.
  • Une femme peut décider qu’elle a besoin d’être seule pendant quelques jours. Cela ne veut pas dire qu’elle n’aime plus son partenaire et ses enfants : elle répond à son besoin, c’est tout.
  • Un couple peut vouloir partir seul en vacances sans les enfants sans que ce geste signifie qu’ils n’aiment pas leurs enfants.

Plus une personne se sent responsable du bonheur des autres et plus elle éprouvera des difficultés à écouter ses besoins, surtout si elle croit que ses proches ne seront pas d’accord. L’attitude à développer est alors la suivante :

  1. Avant de prendre une décision, vérifie si c’est bien ce que tu veux en imaginant que cela ne dérange personne autour de toi.
  2. Quand tu crois que cela pourrait déranger quelqu’un, vérifie auprès de cette personne si c’est bien la réalité. Très souvent, nous supposons qu’il en est ainsi sans une vérification préalable.
  3. Si l’autre dit que cela le dérange, vérifie à l’intérieur de toi si tu lui enlèves véritablement quelque chose qui lui appartient du fait d’écouter ton besoin. Dans l’exemple du couple cité ci-dessus, si monsieur disait à madame que cela le dérangeait qu’elle aille au cinéma seule ou avec une amie, est-ce qu’elle lui enlèverait véritablement quelque chose en le faisant? Non, elle ne fait que ne pas lui donner ce qu’il veut. Sa partenaire ne lui appartient pas.
  4. Rappelle-toi qu’être égoïste consiste à enlever quelque chose à quelqu’un qui ne t’appartient pas, et ce, pour ton strict plaisir. L’égoïsme ne correspond pas à NE PAS DONNER À L’AUTRE ce qui lui ferait plaisir.
  5. Apprends à exprimer ce que tu veux pour toi, incluant ce que tu ressens, et énonce à quel point ce que tu veux pour toi contribuera à te rendre heureux.

Vivir para complacer a los demás es un sacrificio inútil — Mejor con Salud

Autres points à considérer :

  • Développe ta capacité d’acceptation du fait que l’autre peut se faire plaisir même si cela ne te convient pas. Il en a le droit. Surtout, souviens-toi qu’il n’est pas en train de te dire qu’il ne t’aime pas.
  • Sois plus attentif aux besoins de l’autre et demande-lui ce qui lui ferait le plus plaisir. Ensuite, quand tu choisiras d’écouter son besoin, fais-le pour le plaisir de lui faire plaisir et non par peur de ne pas être aimé ou par peur de passer pour un égoïste si tu ne le faisais pas. Par contre, si tu ne veux pas ou ne peux pas le faire, donne-t’en le droit. Explique-leur alors qu’acquiescer à leur demande t’amènerait à dépasser tes limites pour le moment.
  • Fais confiance à la loi du retour qui est immuable. Tu n’as pas besoin d’avoir des attentes face aux personnes à qui tu as fait plaisir. La loi du retour s’en occupe; en effet, nous récoltons TOUJOURS ce que nous avons semé selon la motivation que nous avions au moment de la semence.

Avec amour,

Lise Bourbeau

 

 

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).

 

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Why Being Too Nice Leads To Rejection – Marisa Peer

4 Sep

 

About Marisa Peer

Marisa Peer, named the Best British therapist by Tatler and Men’s Health magazines, has spent nearly 30 years working with an extensive client list including royalty, rock stars, Hollywood actors, Olympic athletes, CEOs, and political leaders.

As a hands-on therapist to her clients, Marisa uses Rapid Transformational Therapy™️ to unlock the brain’s neuroplasticity and help her clients literally rewrite their brains for performance, resolve past issues, and unlock their capacity for abundance. In her work with champion athletes, stars, and the world’s top business leaders, she has noticed a recurring theme of maximizing abundance — the benefit of activating the mind’s neuroplasticity — to virtually remove all limits and open the door to the lives they want in health, wealth, love, and more. For this reason, Marisa’s chosen to bring abundance to the Mindvalley Community.

Marisa also lectures, writes columns and appears on television and radio all over the world. She’s written four bestselling books, highlighting the wonders of transformational hypnotherapy in varying fields such as losing weight, getting pregnant, gaining confidence and staying young.

In this Masterclass, Marisa will demonstrate the instant transformation that’s possible with her unique, highly personal approach to hypnotherapy.

 

 

 

 

 

This compilation was released by Lorena López Writer, Professional Translator,  Angelic coaching, Librarian, Feng Shui Consultant and EFt therapist.