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Eclipse penumbral de luna en Géminis, más luna llena, este 30 de noviembre 2020: romance y relaciones y más

28 Nov

Noviembre 2020 termina con un eclipse lunar en la Luna Llena en Géminis el día 30, a las 9:42 UT. Como resultado, es posible que se activen temas relacionados con la comunicación y el conocimiento, lo que significa que es un buen momento  para dejar de lado las ideas obsoletas y  revisar algunos  puntos de vista para obtener una visión más nueva y  más realista de la vida

Debemos dejar  de lado las estrategias o métodos de comunicación  estrechos o limitantesy  esforzarnos por enriquecer nuestro conocimiento. Todo eso debería  comenzar con el cultivo de nuestra capacidad de escuchar. 

La Luna en Géminis  está 100% iluminada por el  Sol en Sagitario. La polaridad Géminis-Sagitario es un eje mental, donde Géminis representa la “mente inferior” y Sagitario representa la “mente superior”.

La Luna Llena en Géminis es acerca comunicación, actitud y nuestro sentido de la aventuraEs un momento de culminación y la promesa del cumplimiento de lo que hemos iniciado en la Luna Nueva en Géminis. Es una época emocional de romance, fertilización y relaciones.

Una Luna Llena en Géminis nos anima a pensar de manera lógica, mientras que el Sol en Sagitario nos persuade a pensar de una manera mucho más amplia. Géminis es bastante cómodo en su entorno o vecindario inmediato, mientras que Sagitario simboliza la búsqueda de sentido e ideas que se expandan ‘aquí y ahora’ y nos estimula a aventurarnos.

Descuidar cualquiera de los extremos del eje Géminis-Sagitario,se puede volver en contra de nosotros. Idealmente, un equilibrio debe encontrarse entre las dos energías.

 

 

 

 

Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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Sortir de la procrastination

24 Nov

Remettre à demain ce que l’on pourrait faire tout de suite… Quand il s’agit de procrastiner, tous les degrés sont possibles : d’un blocage passager pour telle corvée que l’on repousse ponctuellement, jusqu’à la tendance durable à tout remettre à plus tard avec des conséquences matérielles très sensibles. Mais comment comprendre la procrastination et surtout éviter d’y céder ?

Ne pas faire les choses tout de suite, quand elles sont pénibles, peut sembler assez compréhensible. Mais tout le monde n’adopte pourtant pas cette stratégie, on peut même dire qu’environ la moitié des personnes préfèrent se débarrasser tout de suite des corvées pour avoir l’esprit tranquille et se consacrer ensuite aux choses plus agréables. Les autres optent par la solution inverse : commencer par les choses plaisantes pour terminer par les plus embêtantes. Si vous êtes dans ce cas et si la procrastination est devenue un réel problème pour vous, allons-y !

L’anxiété de l’incertitude

Un des principaux facteurs qui pousse à la procrastination est l’anxiété. Comme pour les phobies ou les troubles anxieux, le fait de différer une action est un équivalent de comportement d’évitement, qui annule (transitoirement) le stress qui lui est associé. Selon le contexte, cette anxiété peut être liée à l’incertitude, au manque d’assurance dans ses propres capacités, ou à toute autre crainte générée par l’action à réaliser ou à ses conséquences potentielles. Il peut notamment s’agir d’une anxiété sociale, par exemple pour des rendez-vous que l’on repousse ou pour des objectifs qui comportent une dimension collective importante.

L’incertitude et l’insuffisance de maîtrise de la situation sont des éléments déterminants. Ne pas bien cerner à l’avance l’ensemble du problème à affronter, ne pas savoir combien de temps il va falloir y consacrer et surtout ne pas avoir une expérience antérieure de la même tâche et donc de sa réalisation constituent des obstacles majeurs au déclenchement de l’action, surtout quand on manque de confiance en soi. Ainsi, chaque fois qu’on aura le choix entre une action incertaine où l’on risque de s’enliser et une action que l’on maîtrise, on choisira la seconde évidemment.

Vouloir trop bien faire

Au-delà du manque de maîtrise d’une situation, un problème de fond explique souvent les habitudes de procrastination : une faible estime de soi et son corollaire, le perfectionnisme. Vouloir en permanence faire les choses de manière parfaite, pour se prouver sa propre valeur dont on doute en réalité, crée rapidement un cercle vicieux : placer la barre trop haut conduit fatalement à ne pas l’atteindre, ce qui finit par altérer encore plus l’image que l’on a de soi-même (« Je n’arrive jamais à rien », « C’est bien la preuve que je ne vaux rien »…). Cette course à la perfection empêche d’agir, et elle peut même directement fabriquer de la procrastination : plutôt que de se confronter à un possible échec, on préfère, même sans vraiment s’en rendre compte, ne pas essayer du tout.

L’estimation du temps

La question du temps est centrale dans la procrastination, puisqu’on est toujours en retard. Les personnes concernées ont souvent un problème avec l’estimation du temps que peut prendre telle ou telle action, avec une franche tendance à en sous-estimer la durée nécessaire, et à surestimer le temps restant avant la dernière limite. Cela peut s’apparenter à un excès d’optimisme, ou parfois aussi à la politique de l’autruche : avec l’intuition du retard que l’on commence à prendre, on préfère ne pas y penser et ne pas se confronter à la réalité. Ainsi, on s’y prend trop tard et on se sent dépassé, non pas parce que la tâche était trop difficile mais parce qu’on n’y a pas consacré assez de temps.

Un autre type de piège explique également le renforcement de la procrastination : les fausses urgences. Plutôt que de se lancer dans une tâche importante et en retard, on en préfère une autre, moins importante mais plus abordable (moins complexe, plus agréable). Ceci avec un prétexte permettant de se déculpabiliser, du type : « Il faut vraiment que je le fasse maintenant, ça ne peut pas attendre. » Et, de fausses urgences en fausses urgences, les choses vraiment nécessaires sont repoussées aux calendes grecques.

Enfin, le dernier facteur de procrastination est, paradoxalement, une tendance à  l’hyperactivité. Quand celle-ci est désordonnée, avec de réels problèmes d’attention comme chez certains enfants mais aussi chez beaucoup d’adultes, le risque est de ne pas pouvoir construire une action de manière continue du début à la fin. Une distractibilité excessive conduit à passer effectivement en permanence d’un sujet à l’autre, et ainsi ne réaliser aucune tâche complètement. Les personnes concernées sont ainsi perdues dans de nombreuses actions, commencées mais interrompues, et ne s’y retrouvent plus. Cette tendance à la dispersion et au manque de concentration est naturellement amplifiée par toutes les incitations à la distraction, venant surtout des divers écrans et autres supports numériques.

Attention aux bonnes résolutions

Tout comme il est vain de décider de commencer un régime d’une heure à l’autre (ça ne tient pas très longtemps en général…), la grande résolution « J’arrête complètement de procrastiner dès aujourd’hui » n’a pas de sens et est plutôt contre-productive. Sans préparation ni plan d’action, vous risquez d’échouer très vite, de vous décourager en culpabilisant et de ne plus pouvoir vous attaquer au problème avant longtemps… Il faut passer d’une logique illusoire du tout ou rien à une procédure raisonnée et ciblée.

Le paramètre à privilégier est le degré d’utilité et d’urgence, car avancer sur ces sujets peut vous faciliter la vie assez rapidement, et surtout renforcera votre motivation et votre confiance en vous si vous réussissez. Choisissez donc les actions que vous repoussez depuis longtemps, même si vous n’avez pas de délais obligatoires fixés par des conditions extérieures (ce sont souvent ces tâches qu’on repousse à l’infini), et qui comptent vraiment pour vous ou pour vos proches.

S’il y en a plusieurs, appliquez le second critère pour les classer : d’abord ceux qui devraient vous demander le moins d’efforts et de temps, puis les autres.

Dix petits problèmes valent mieux qu’un seul très gros

Une autre règle essentielle dans la lutte contre la procrastination est la segmentation des problèmes. Impossible de terminer une tâche de grande ampleur et de grande complexité en une seule fois et sur un temps court. Il est essentiel de décomposer les actions les plus lourdes en sous-actions plus abordables, prenant moins de temps et soulevant moins de difficultés quand elles sont traitées l’une après l’autre. Par exemple, si votre objectif principal est de ranger votre chambre ou votre cave, il est facile de segmenter cette tâche en sous-parties : d’abord ranger un meuble, puis un autre, puis certains tiroirs, etc. Ceci vous permettra de ne pas vous poser trop de questions quand vous serez dans l’action, puisque la tâche est bien définie. Et surtout d’obtenir une réelle satisfaction à chaque fois qu’un sous-objectif sera rempli, plutôt que d’attendre la résolution de la totalité du problème pour vous sentir valorisé.

Il est essentiel d’introduire des récompenses lorsque vous atteignez des objectifs, des choses que vous ne vous autoriserez à faire que lorsque vous aurez rempli le contrat prévu. Cette autogratification peut sembler un peu rudimentaire ou triviale, mais elle fonctionne vraiment pour entretenir la motivation.

Un bon chronomètre

Si vous sentez votre détermination fragile, en tout cas au départ, je vous conseille la méthode des rounds. Tout comme vous aurez découpé la tâche à réaliser en plusieurs tranches d’objectifs, il est utile de découper le temps en périodes assez brèves, comme les rounds d’un match de boxe. Ces périodes, qui peuvent être de dix minutes par exemple, sont un bon garde-fou contre les risques de distraction.

La règle à vous fixer, et à respecter de la manière la plus stricte possible, est de ne rien faire d’autre que la tâche prévue pendant les dix minutes de chaque séquence. Vous pouvez vous accorder un répit à la fin de chaque round en faisant autre chose ou rien du tout (repos), ou choisir d’enchaîner tout de suite pour une nouvelle période de dix minutes si vous vous sentez en bonnes dispositions. Mais la même discipline s’impose pour toutes les séquences à venir : ne rien faire d’autre que la tâche et vous appuyer sur une mesure du temps objective, à l’aide du chronomètre de votre smartphone par exemple.

Les récompenses que vous vous accordez ne doivent pas risquer de vous faire dériver trop longtemps de votre mission principale… Donc pas d’activité addictogène, comme un jeu dont vous avez du mal à décrocher ! De même, il faut veiller à ne pas vous laisser distraire pendant la tâche par toutes les tentations habituelles, venant notamment de votre téléphone ou de votre ordinateur. Veillez ainsi à éteindre les appareils pendant les phases de travail important, ou au moins de désactiver toutes les notifications. Gardez en tête que votre concentration va être difficile à maintenir si la tâche à réaliser n’est pas très plaisante ou demande un effort de réflexion ou d’attention conséquent, donc protégez-vous bien contre toutes les tentations.

Gestion des objectifs et gestion du temps

Du début à la fin, vous risquez d’être freiné voire paralysé par votre exigence de perfection ou au moins votre désir de bien faire. Nous avons vu que cette tendance, louable sur le principe, peut être un véritable poison de l’action. Il faut donc vous préparer à la débusquer derrière toute critique envers vous-même, ou derrière toute tentative de renoncement à agir ou à continuer un travail. Vous ne parviendrez pas à tout faire parfaitement, c’est acquis, mais tout ce qui sera fait sera un pas vers votre satisfaction. Soyez intransigeant avec votre perfectionnisme !

Deux derniers conseils :

1. Essayez de repérer les périodes de la journée dans lesquelles vous êtes habituellement le plus productif. Nous avons tous des profils un peu différents : certains travaillent efficacement tôt le matin, d’autres le soir ou à certaines heures de la journée. Essayez de tenir compte de ces particularités pour planifier vos activités demandant le plus d’énergie.

2. Passez parfois en mode « urgence » quand les choses ne fonctionnent pas assez bien. Vous avez probablement déjà constaté que votre productivité est nettement augmentée quand vous devez absolument rendre un travail avant une date incontournable, ou quand une échéance s’impose à vous pour des raisons pratiques (départ en vacances, déménagement, visite d’un ami, etc.). Ce sont des moments où toute notre énergie et surtout notre motivation sont concentrées sur un seul objectif, avec une notion d’urgence obligeant à une certaine rapidité. C’est d’ailleurs pour cela que certains finissent, de manière plus ou moins volontaire et consciente, par prendre l’habitude de travailler à la dernière minute pour gagner en efficacité. Mais il est possible de reproduire cette pression par des obligations que l’on s’impose à soi-même : s’obliger à terminer telle tâche absolument avant telle date en considérant qu’elle prime avant tout le reste. Ceci passe par un échéancier plus serré que ce que vous auriez tendance à vous accorder spontanément.

Cette stratégie peut apporter beaucoup, mais il est préférable de ne pas en abuser, car elle peut engendrer un niveau de fatigue et de stress excessif. Essayez d’alterner des périodes d’organisation normale avec ces plages de rush intense.

L’essentiel contre la procrastination

– Priorisez vos objectifs et commencez par ceux qui comptent le plus tout en présentant le moins de difficultés.

– Fixez-vous des séquences de dix minutes pendant lesquelles vous ne devez rien faire d’autre que la tâche prévue.

– Organisez vos activités en fonction des capacités que vous vous connaissez, notamment des jours ou des horaires où vous êtes habituellement le plus productif.

– Passez en mode « urgence » quand les blocages résistent, en vous fixant vous-même un délai impératif à ne pas dépasser.

Pour aller plus loin 

= Êtes-vous adepte de la procrastination?  

« Pourquoi faire aujourd’hui ce que l’on peut remettre à demain ? » : une question qui vous a peut être déjà effleuré l’esprit. Si certains la prononcent à la légère, du bout des lèvres, d’autres l’appliquent au pied de la lettre, préférant remettre les choses à plus tard et rechignant ainsi à la tâche. Qu’en est-il pour vous ? Pratiquez-vous l’art de reporter vos obligations ?

 

 

 

 

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).

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DESCUBRE la HORA perfecta para MEDITAR con Emily Fletcher

19 Nov

 

 

 

 

Compilación realizada por Lorena López escritora, traductora, couch angelical, biblioterapeuta, consultante en feng Shui y terapeuta en EFT (Técnicas de liberación emocional).

 

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AVEZ-VOUS VRAIMENT CONFIANCE EN VOUS?

1 Nov

Sur quoi vous basez-vous pour le déterminer?

Il est important de savoir faire la différence entre AVOIR CONFIANCE et ÊTRE CONFIANT. Plusieurs personnes ont confiance en elles et se valorisent en se basant sur des résultats qu’elles ont obtenus. Ce n’est pas de la vraie confiance. Une personne est VRAIMENT CONFIANTE quand elle est consciente de sa propre valeur. C’est un état de bien-être intérieur qui provient de la reconnaissance juste de ses forces, de ses faiblesses et de ses limites.

En général, on fait vraiment confiance à quelqu’un lorsque celui-ci est confiant. Il dégage une énergie particulière qui peut être perçue par son entourage.

Voici certains critères d’une personne confiante :

  • Elle est bien dans sa peau, elle peut être naturelle, transparente et se sent bien même si elle ne répond pas aux attentes des autres.
  • Elle ne se sent pas menacée par une critique, par un conseil et par la différence des autres; elle est plutôt ouverte et sait que cela pourrait lui être utile.
  • Elle est capable d’admettre qu’elle a fait une erreur ou oublié quelque chose sans se justifier et sans avoir peur d’être moins aimée.
  • Elle est prête à passer à l’action, à entreprendre quelque chose de nouveau en sachant que même si elle n’a pas le résultat escompté, cela ne diminue pas sa valeur.
  • Elle sait reconnaître ses limites et admettre qu’elle a besoin d’aide des autres sans se sentir abaissée.
  • Elle peut parler de ses faiblesses et de ses défauts en acceptant ainsi d’être humaine sans se sentir moindre pour autant, car elle est toujours consciente de toutes ses capacités.
  • Elle ose affirmer et agir en fonction de ses besoins même si ses proches ne la comprennent pas ou ne sont pas d’accord.
  • Elle est capable de dire non et faire respecter son espace sans se sentir coupable ni se justifier.
  • Elle sait reconnaître ses talents, ses forces, ses qualités sans se sentir supérieure et sans avoir peur de la réaction des autres. Elle répond donc à un compliment avec un simple merci.
  • Quand elle vit un échec, il lui est facile de continuer à se diriger vers ses buts sans se dévaloriser. Elle regarde plutôt ce qu’elle apprend à travers cet échec.

Ne vous laissez pas leurrer par ceux qui affichent une grande confiance, mais qui ne sont pas confiants. Voici certains de leurs comportements :

  • se vanter pour essayer d’impressionner les autres;
  • foncer la tête baissée et démontrer du courage tout en cachant les peurs de l’échec et du regard des autres;
  • afficher un tempérament autoritaire et sembler n’avoir peur de personne;
  • prendre beaucoup de place dans une foule et s’arranger pour être le centre d’attraction;
  • parler de ses connaissances et bien aimer avoir le dernier mot.

Tous ces comportements sont dirigés en grande partie par l’ego. Par contre, une personne vraiment confiante est dirigée par son cœur et est en contact avec sa valeur intérieure.

Prenez donc le temps de vous observer pour devenir davantage conscient de votre degré de confiance. Vous pouvez aussi demander à vos proches de vous faire part de leurs observations, ce qui sera une grande aide pour développer votre confiance.

Avec amour,

Lise Bourbeau

 

 

Compilation réalisée par Lorena López auteure, traductrice, Conseillère angélique, bibliotherapeute, Consultante Feng shui et Thérapeute en EFT (techniques de libération émotionnelle).